26 excellentes raisons de découvrir l’ensorcelante Namibie

Par Virginie

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· Namibie

Namibie, Désert, Deadvlei

Les superlatifs manquent pour qualifier la Namibie, vaste pays semi-désertique au patrimoine naturel époustouflant. Une certitude, les voyageurs qui reviennent de cette ancienne colonie allemande ont des étoiles dans les yeux et ne tarissent pas d’éloges sur les lieux spectaculaires qu’ils ont arpentés. Florilège de ces sites enchanteurs, encore confidentiels, où le temps semble s’être suspendu.

Sommaire
  1. 1 Le désert du Namib et sa beauté insolente
  2. 2 Skeleton coast, un enfer extraordinaire
  3. 3 Les chutes Epupa sur le fleuve Kunene
  4. 4 Le parc national d’Etosha, réserve naturelle la plus vaste du monde
  5. 5 Twyfelfontein et ses peintures rupestres
  6. 6 Le majestueux Fish River Canyon
  7. 7 Pour frayer avec les otaries au « Cape cross seal reserve »
  8. 8 Pour se prélasser à Swakopmund, petit coin d’Allemagne en Afrique australe
  9. 9 Pour surfer sur « une gauche » exceptionnelle
  10. 10 Pour s’ébahir devant les paysages du parc national Namib-Naukflut
  11. 11 Pour vibrer devant les couleurs chatoyantes du sable du Kalahari
  12. 12 Pour contempler les seuls chevaux sauvages d’Afrique
  13. 13 Pour se rendre aux chutes Victoria, passez par la case… Namibie
  14. 14 Pour s’émerveiller devant des aloès géants dans la forêt Quivertree, Karas
  15. 15 Pour rêver devant la beauté envoûtante des déserts de Sossusvlei et de Deadvlei
  16. 16 Pour pister les éléphants du désert, Damaraland
  17. 17 Pour remonter le canyon de Sesriem
  18. 18 Pour rencontrer des tribus traditionnelles himbas
  19. 19 Pour sillonner la forêt pétrifiée
  20. 20 Pour « franchir » le tropique du Capricorne
  21. 21 Pour découvrir l’aire de jeux de mystérieux géants
  22. 22 Pour frissonner en arpentant une ville fantôme
  23. 23 Pour effleurer la plus grosse météorite au monde
  24. 24 Pour s’extasier devant le majestueux « Spitzkoppe », Damaraland, désert du Namib
  25. 25 Pour s’ébahir devant « Rock finger », vallée de l’Ugab
  26. 26 Pour « Waterberg plateau park »

Le désert du Namib et sa beauté insolente

Le « grand vide » ou Namib, âgé de 80 millions d’années, est l’un des plus vieux déserts du monde et occupe une superficie équivalente à 2,5 fois la Belgique. Ce désert côtier, situé dans l’une des régions les plus arides de la planète, possède les plus hautes dunes au monde et offre un spectacle sans équivalent avec notamment des dunes, qui plongent dans l’océan Atlantique. Les plus chanceux pourront décupler leur plaisir en assistant au lever du soleil en s’envolant à bord d’une montgolfière pour un voyage unique. Grandiose !

Skeleton coast, un enfer extraordinaire

Au nord de la Namibie, des étendues de sable fin à perte de vue, balayées par un vent tyrannique, un cimetière de navires en perdition, des bancs de brouillard épais, pas de trace humaine… Ossements d’animaux marins et épaves de bateaux sont à l’origine de ce nom improbable et sinistre : la côte des squelettes. Souvent classé comme zone sinistre et inhospitalière, cet endroit, digne d’un décor de film apocalyptique, est d’une beauté inaltérable, brute tel un diamant non taillé. Soyez parmi les rares visiteurs à oser déambuler et braver les éléments, perdu dans l’immensité. Une expérience hors du commun !

Les chutes Epupa sur le fleuve Kunene

Au nord du pays, un pan du cours du fleuve Kunene jusqu’à son embouchure dans l’océan Atlantique, sert de frontière naturelle entre l’Angola et la Namibie. Figuiers, palmiers, baobabs abondent et composent l’habitat d’une faune ailée pléthorique et bruissante… Attention cependant à ne pas trop vous approcher des rives car des alligators y ont élu domicile. La fraîcheur des lieux et la luxuriance de la végétation contrastent singulièrement avec le reste du pays… Epupa signifie en dialecte local « eaux fracassantes et écumantes ». À Epupa le fleuve se ramifie en divers ravins jusqu’à une ultime cascade de 37 m. Une vingtaine de cascades coulent dans la vallée. Incontournable !

Le parc national d’Etosha, réserve naturelle la plus vaste du monde

Le parc d’Etosha offre des paysages très contrastés entre d’immenses prairies ouvertes, des zones vallonnées, des plaines arides et un énorme marais salant, le pan, visible de l’espace. Ce lac asséché recouvert de sel couvre la majeure partie de cette réserve. Des arbres à la silhouette fantômatique contribuent à rendre les lieux encore plus saisissants ! Ce sanctuaire animalier abrite une faune d’une incroyable richesse : éléphants, zèbres, gnous, lions, girafes, impalas, rhinocéros. À la saison des pluies, le lac asséché se remplit et devient une lagune, point d’ancrage de flamants roses et de milliers d’oiseaux aux couleurs éclatantes, le spectacle est alors féérique.

Twyfelfontein et ses peintures rupestres

Classé au patrimoine mondial de l’humanité depuis 2007, le site archéologique de Twyfelfontein -la fontaine hésitante- recèle l’une des plus importantes concentrations de gravures sur roche (art pariétal) du continent africain. Emotion et recueillement devant ces oeuvres préservées, exécutées par des chasseurs-cueilleurs, qui représentent des éléphants, des girafes, des autruches ainsi que des êtres humains.

Le majestueux Fish River Canyon

Deuxième au monde par sa taille après le Grand canyon du Colorado, le Fish river canyon, sis dans l’extrême sud du pays, en impose par sa splendeur et son gigantisme. Cette faille de 160 km de long, 27 km dans sa plus grande largeur, est encadrée par des falaises à pic, et la profondeur atteint 550 m. Les points de vue rivalisent de panoramas extraordinaires. Randonneurs, amateurs de sensations extrêmes, parcourez le lit sablonneux de la rivière, jalonné de bassins éphémères lors d’un circuit de plusieurs jours qui vous mènera à une oasis de sources chaudes, située à l’extrémité du canyon.

Pour frayer avec les otaries au « Cape cross seal reserve »

Situé sur la côte des squelettes, Cape cross fut découvert par un navigateur portugais en 1486. Une croix de pierre fut érigée afin de marquer cet endroit qui était jusqu’alors le point le plus austral -sud- jamais atteint par des Européens en Afrique. Paradis d’observation des otaries à fourrure, cette réserve accueille la plus importante colonie de Namibie. Certains annoncent le chiffre de 100 000 mammifères marins. Attention cependant à vous munir d’un mouchoir lors de votre escapade afin d’estomper certaines fragrances particulièrement fortes…

otaries, cape cross, Namibie

Pour se prélasser à Swakopmund, petit coin d’Allemagne en Afrique australe

Sur un littoral de plus de 1 500 km de long, Swakopmund, sise au bord du désert du Namib, est l’une des rares vraies ville côtières. Vous êtes en Afrique mais tout vous incite à vous croire ailleurs : le brouillard, la mer froide, les décors de western qui se télescopent avec les bâtisses coloniales à la mode bavaroise -vestiges des habitations préfabriquées apportées par les colons-,… Un charme suranné se dégage de cette station balnéaire aux allures d’un autre siècle. Ancienne colonie allemande de 1884 à 1915, l’architecture locale a été fortement influencée par cette brève période. Swakopmund est le point de départ de nombreuses excursions terrestres et maritimes (sandboard, tour en bateau pour un safari photo, trek dans le désert…).

Pour surfer sur « une gauche » exceptionnelle

« Skeleton coast » est en passe de devenir un spot de surf reconnu et apprécié par la communauté des surfeurs. Certes, l’endroit n’est pas aisément accessible, cependant de plus en plus de surfeurs postent des vidéos des lieux et d’aucuns affirment même que la « plus belle gauche au monde » -ce qui signifie pour les béotiens, vague déroulant vers la gauche, vu de l’eau- serait sur la côte des squelettes ! Cette vague-là serait réputée pour sa force et sa rapidité, Simon Nicholson, ancien surfeur pro, ayant même affirmé qu’elle était « réservée aux plus braves » ! Avis aux amateurs… chevronnés !

Pour s’ébahir devant les paysages du parc national Namib-Naukflut

Ce parc est situé dans le sud-ouest de la Namibie, aux confins du désert du Namib et de la chaîne de montagnes du Naukluft, imposante barrière naturelle dotée d’impressionnantes gorges. Cette région est extrêmement aride, l’humidité provient essentiellement du brouillard de l’océan Atlantique. Une vraie vie sauvage règne dans ces espaces vierges qui offrent une variété étonnante de paysages : plateaux rocheux très découpés, canyons profonds et vagues de sable qui ondulent sous l’action des vents. Enchanteur…

Pour vibrer devant les couleurs chatoyantes du sable du Kalahari

Aux confins du Botswana, de l’Afrique du Sud et de la Namibie, le Kalahari, plus grande étendue de sable au monde déploie son charme sauvage. Le terme de désert, souvent usité, est inapproprié car la végétation selon les espaces peut abonder. Dans certaines régions le couvert végétal approche les 100 %. Les dunes d’un rouge intense, les lits de rivières asséchées, les paysages lunaires et sa végétation (dont des baoboabs centenaires) en font un lieu à part. Les bochimans, premiers habitants de l’Afrique australe, résident encore dans ces âpres contrées.

Pour contempler les seuls chevaux sauvages d’Afrique

Partir à la recherche des derniers chevaux sauvages dans des contrées désertiques, un vieux rêve d’enfant qui devient réalité ici. Diverses théories s’affrontent pour expliquer la présence de cette harde dans ces plaines improbables. Cependant tout le monde s’accorde à louer l’exceptionnelle vigueur de ces chevaux, pour résister à cet environnement où la vie semble impossible et à louer leur présence qui transfigure les lieux !

Pour se rendre aux chutes Victoria, passez par la case… Namibie

Traversez la frontière nord-est de la Namibie et vous serez face à l’une des plus belles merveilles du monde orchestrée par Dame Nature : les chutes Victoria. Situées sur le fleuve Zambèze, frontière naturelle entre le Zimbabwe et la Zambie, ces chutes spectaculaires constituent le plus grand rideau d’eau au monde. Larges de 1 708 m, leur profondeur peut atteindre plus de 100 m… Leur débit varie énormément selon la saison (jusqu’à 500 millions de litres par minute) et le nuage pulvérisé peut s’élever jusqu’à 400 m. Une petite forêt tropicale humide a ainsi vu le jour grâce à l’arrosage permanent de cette brume irisée… Embruns, arcs-en-ciel confèrent à ce lieu, classé au patrimoine mondiale de l’humanité, une beauté surnaturelle et envoûtante.

Pour s’émerveiller devant des aloès géants dans la forêt Quivertree, Karas

Le nom vernaculaire de cet aloès arborescent , « Kokerboom », signifie « arbre à carquois » car son écorce et ses branches étaient utilisées par les chasseurs afin de confectionner leurs étuis où ranger leurs flèches. Cet aloès qui peut atteindre 9 m de hauteur, prospère lentement sur les sols rocheux. Dotée d’une grande robustesse, cette plante géante résiste aux fortes amplitudes thermiques qui sévissent dans ces contrées et ne craint ni le gel, ni les très fortes températures… Cette petite forêt regroupant plusieurs dizaines « d’arbres » pluri-centenaires au coeur de pics rocheux saura vous captiver.

Pour rêver devant la beauté envoûtante des déserts de Sossusvlei et de Deadvlei

Désert de sel et d’argile, le Sossuslvlei se trouve dans le parc de Namib-Naukluft. L’endroit est mondialement connu pour ses montagnes de sable rouge qui sont les plus hautes dunes de sable au monde. Il vous faudra 1 h 30 de marche pour parvenir au sommet, de Big Daddy appelée également Crazy Dune (dont l’altitude oscille autour de 350 m). Dans ce décor unique, impressionnant de démesure, calme et sérénité règnent. Le lever du soleil à la Dune 45 est un moment de pure magie.

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Deadvlei ou « marais mort » est une cuvette d’argile blanche, entourée de dunes monumentales. Les arbres morts aux troncs brûlés par le soleil implacable sont caractéristiques des lieux et témoignent d’une époque révolue où l’eau abondait…

Namibie, Désert, Deadvlei
Michael Schwarz

Pour pister les éléphants du désert, Damaraland

Rares sont les contrées (Mali et Namibie) où l’on peut apercevoir ces éléphants qui ont su s’adapter à des conditions de vie particulièrement ardues, à une extrême aridité des lieux… Leur corps s’est transformé, ces pachydermes sont devenus plus minces que leurs pairs des zones humides, leurs pieds se sont élargis pour progresser dans des sols sableux et ils peuvent se passer d’eau pendant plusieurs jours… Partir à leur rencontre restera certainement un moment unique !

Pour remonter le canyon de Sesriem

Vieux de plus de 15 millions d’années, ce canyon profond de 40 m et long de plus d’1 km est l’oeuvre de la rivière Sesriem. Rivière éphémère qui descend des monts Naukluft, la Sesriem charrie de l’eau lors des rares épisodes pluvieux. Cependant la dureté des sols ne permet pas à l’eau de s’infiltrer et de rapides et violentes crues s’abattent alors pendant quelques heures. Le canyon est franchissable à pied en dehors de ces périodes de pluies

Pour rencontrer des tribus traditionnelles himbas

Aux origines, ce peuple de chasseurs-cueilleurs, était nomade, mais la plupart des Himbas sont désormais sédentarisés et vivent dans des villages. Découvrir les coutumes ancestrales de ce peuple, leur culture, leurs croyances, leur artisanat peut être un moment riche de partages et de connaissances. Attention cependant d’effectuer ces visites avec des guides soucieux du respect des Himbas et de leur mode de vie. En voyageant nous sommes des invités sur les terres parcourues et non des consommateurs…

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Les huttes traditionnelles sont réalisées à partir de morceaux de bois recouverts de torchis composé de terre et de bouse séchées.

Pour sillonner la forêt pétrifiée

Il était une fois… plusieurs dizaines de gros troncs d’arbres fossiles, essentiellement des conifères, âgés entre 240 et 300 millions d’années, gisant sur un sol rocailleux. Dépourvus de racines, ces arbres ont été vraisemblablement transportés par les flots et proviendraient d’Angola et d’Afrique centrale. Recouverts par des sédiments, ces troncs ont ensuite été pétrifiés… L’érosion des sols est à l’origine de leur réapparition, de nombreux troncs sont encore vraisemblablement enfouis. Les lieux abritent également une plante singulière, rare, emblème de l’équipe nationale de rugby et représentée sur les armoiries du pays : la Welwitschia mirabilis. La longévité exceptionnelle (les plus vieux spécimens sont…millénaires) de cette espèce et sa capacité d’adaptation et de résistance (très fortes températures, sècheresse, vents violents…) sont stupéfiantes tout comme la longueur que peuvent atteindre les deux seules feuilles qui la composent. 

Pour « franchir » le tropique du Capricorne

Le désert du Namib coupe longitudinalement le tropique du Capricorne. Ce parallèle 23° 26′ 14 de latitude sud traverse essentiellement des océans et peu de pays, contrairement au tropique du Cancer qui parcourt des mers mais également de nombreux pays… Une vraie leçon de géographie in situ.

Pour découvrir l’aire de jeux de mystérieux géants

À proximité de la forêt pétrifiée se trouve, « Giants Playgrounds », vaste espace composé de curieux amoncellements rocheux. Ces empilages de gros blocs de roche rouge font penser à l’oeuvre de géants s’amusant à réaliser des constructions avec les cadeaux de Dame Nature… Plus prosaïquement l’amplitude thermique (jour/nuit) qui règne sur place expliquerait les fentes dans la roche… Au crépuscule la lumière rasante sur les pierres rouges et les ombres portées constituent un spectacle de toute beauté. Vous croiserez vraisemblablement quelques damans, mammifères qui ressemblent au croisement d’un lapin et d’une marmotte, qui investissent régulièrement les lieux

Pour frissonner en arpentant une ville fantôme

Kolmanskop est une ancienne ville minière désaffectée à quelques kilomètres de la ville portuaire de Lüderitz. Fondée au début du XX° siècle après la découverte fortuite d’un diamant, la ville a connu son apogée, prospérant jusque dans les années 50, date à laquelle les mines de diamant se sont taries. Les maisons cossues ont été abandonnées, leurs ruines luttent inégalement contre les vents et le sable du désert environnant qui tentent inexorablement de reprendre leurs droits…

Pour effleurer la plus grosse météorite au monde

La météorite d’Hoba qui repose en pleine savane au nord-est du pays affiche un beau palmarès : la plus grosse au monde avec 60 tonnes d’un seul morceau (66 tonnes lors de sa découverte mais l’érosion, les prélèvements scientifiques et les actes de vandalismes ont réduit sa masse) et le plus gros bloc de fer naturel recensé sur la Terre. Ce parallélépipède qui affiche 2,7 m de long, autant de large, pour une hauteur de 0,9 m est composé à 84 % de fer, le reste étant du cobalt. Sa chute serait intervenue il y a moins de 80 000 ans. La météorite a été déclarée monument national en 1955.

Pour s’extasier devant le majestueux « Spitzkoppe », Damaraland, désert du Namib

Immense amoncellement rocheux de pics granitiques dans le Damaraland, le Spitzkoppe ou « dôme pointu » semble surgir de nulle part ou avoir échoué là, par hasard… Le point culminant est à 1 784 m d’altitude, soit 700 m au-dessus de la vaste plaine qui l’environne. Le contraste entre la plaine immense, presque déserte est saisissant. L’apparition du soleil est un moment extraordinaire où le Spitzkoppe se pare de couleurs incroyables passant du violet, au rouge et au jaune.

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Petite anecdote pour les cinéphiles, des scènes du film culte de Stanley Kubrick « 2001 Odyssée de l’espace » ont été tournées dans ce décor surnaturel.

Pour s’ébahir devant « Rock finger », vallée de l’Ugab

Debout sur une colline le « Doigt de pierre » affiche toute sa superbe et se dresse au-dessus des terrasses géologiques de la rivière Ugab. Haut de 35 m ce pilier de roches sédimentaires constitue une véritable curiosité que l’on soit amateur de géologie ou non. L’ascension de la colline est possible, en revanche il est strictement prohibé d’attaquer l’un des versants de ce monument de pierre !

Pour « Waterberg plateau park »

Situé dans le centre du pays, ce parc national est un sanctuaire pour les espèces animales menacées : hippotragues noirs, rhinocéros blancs et noirs… Ce plateau, monolithe monumental de couleur ocre, mesure 50 km de long, 16 km de large et se dresse à 150 m de la plaine environnante. La couche supérieure se compose de grès rouge, de nombreuses sources serpentent sur le relief. Paradis des botanistes, plus de 500 espèces de plantes ont été répertoriées, certaines étant endémiques. Plantes aquatiques et tortues apparaissent pendant la saison des pluies. Rochers, brousse, savane arbustive de la plaine, vallée abritée favorisent la prolifération de nombreux oiseaux et mammifères (babouins, koudous, léopard, girafes, zèbres, hyènes, chacals…).

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